Une page Web apparaît dans Internet, celui qu'il facilite à riches et fameux avec problèmes de liquidité, la vente de ses articles de plus de valeur. dans notre blog consacré au luxe nous nous faisons un écho de l'existence de BillionaireXchange, l'e-bay des riches. Ils pourront vendre à elle ses yachts, ses bijoux, ce Bugatti Veyron qui reste ou ce Ferrari Enzo de celui que sa couleur ne leur a plu jamais.
La discrétion est totale et absolue, ils pourront vendre à elle tout article de luxe, l'unique qu'ils leur exigent il est de disposer d'un minimum de deux millions de dollars dans des actifs pour pouvoir régulariser haute comme client. Devant la nécessité naissante de vendre des actifs de plusieurs de ceux-ci riches et fameux, par la faute de la crise, cette nouvelle page Web, elle les évite, la mauvaise gorgée dont sa situation précaire économique peut être connue.
Le web a ouvert ses portes le lundi 9 novembre de forme officielle, mais il compte dans des épreuves environ 10 mois dans lesquels il est déjà intervenu à la transaction d'environ 180 millions de dollars. Il semble qu'où s'accuse plus cela un manque de liquidité est aux États-Unis, puisqu'il est là où la majorité des opérations ont été réalisées.
Le papier de cette page Web se situe à moitié entre les pages habituelles de vente par Internet et les grandes maisons de ventes aux enchères. BillionaireXchange, facilite le contrat d'achat d'art, d'antiquités, de maisons, d'affaires et de propriétés commerciales, de forme sûre et surtout très discrète.
Évidemment toute cette discrétion et toutes ces facilités ont un prix, BillionaireXchange chargera ses clients une commission de 5 %, avec ce que seulement dans le délai probatoire, il assure avoir gagné environ 8,75 millions de dollars (six millions d'euros au changement). L'entreprise qui a son siège à Miami, consolide disposer entre ses clients des sportifs professionnels et d'acteurs de la première file. Une sécurité qu'à eux la crise leur va venir très bien.
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